Corbeil-Essonnes
Caractéristiques de la randonnée :
- Département : 91 - Essonne
- Commune de départ : Corbeil-Essonnes
- Difficulté : Facile
- Durée : 1 h 45
- Distance : 3,9 km
- Dénivelé : 15 m
- Type de circuit : Urbain
- Accessible aux fauteuils roulants : non
- Accessible aux poussettes : non
À la confluence de l'Essonne et de la Seine, Corbeil-Essonnes doit son passé historique et industriel à sa situation géographique et à la force de l'eau qui la traverse.
Au IIIe siècle avant Jésus Christ, Exona (actuellement Essonnes), est sur le chemin reliant Lutèce (Paris) à Agedincum (Sens). La période Gallo-romaine est une période de prospérité pour Essonnes qui devient propriété de l'abbaye de Saint-Denis. Mais à la fin du IXe siècle, pour résister aux incursions des Normands qui remontent la Seine, des fortifications sont édifiées. Les habitants des alentours se fixent alors sur la rive gauche en prenant le nom de Corbeil.
Un comte est nommé pour administrer Corbeil : le premier sera Haymon 1er qui fait construire le château dit royal à l'emplacement des actuels moulins. Corbeil acquiert une renommée pour ses pèlerinages, ses foires et ses écoles, devenant durant plusieurs siècles une des régions les plus riches de France. La vocation industrielle de Corbeil se précise, au XVIIIe siècle avec l'implantation de tanneries, d'une poudrerie, de manufactures et de fabriques diverses. En même temps, se multiplient des propriétés de plaisance à Essonnes et Corbeil.
L'arrivée du chemin de fer à Corbeil le 17 septembre 1840 annonce le début de la Révolution industrielle.
L'implantation de nouveaux moulins, papeteries, filatures, imprimeries, tuileries, métallurgies fera connaître aux deux communes une urbanisation et une augmentation de la population importantes. Ce n'est qu'en 1951 qu'Essonnes et Corbeil fusionnent pour donner naissance à Corbeil-Essonnes.
Dans les années 60-70 les grands ensembles sont construits sur les anciennes terres du notaire de la marquise de Pompadour, Nicolas Tarterêts.
Au IIIe siècle avant Jésus Christ, Exona (actuellement Essonnes), est sur le chemin reliant Lutèce (Paris) à Agedincum (Sens). La période Gallo-romaine est une période de prospérité pour Essonnes qui devient propriété de l'abbaye de Saint-Denis. Mais à la fin du IXe siècle, pour résister aux incursions des Normands qui remontent la Seine, des fortifications sont édifiées. Les habitants des alentours se fixent alors sur la rive gauche en prenant le nom de Corbeil.
Un comte est nommé pour administrer Corbeil : le premier sera Haymon 1er qui fait construire le château dit royal à l'emplacement des actuels moulins. Corbeil acquiert une renommée pour ses pèlerinages, ses foires et ses écoles, devenant durant plusieurs siècles une des régions les plus riches de France. La vocation industrielle de Corbeil se précise, au XVIIIe siècle avec l'implantation de tanneries, d'une poudrerie, de manufactures et de fabriques diverses. En même temps, se multiplient des propriétés de plaisance à Essonnes et Corbeil.
L'arrivée du chemin de fer à Corbeil le 17 septembre 1840 annonce le début de la Révolution industrielle.
L'implantation de nouveaux moulins, papeteries, filatures, imprimeries, tuileries, métallurgies fera connaître aux deux communes une urbanisation et une augmentation de la population importantes. Ce n'est qu'en 1951 qu'Essonnes et Corbeil fusionnent pour donner naissance à Corbeil-Essonnes.
Dans les années 60-70 les grands ensembles sont construits sur les anciennes terres du notaire de la marquise de Pompadour, Nicolas Tarterêts.
